Pardon, le ping c’est la santé. Le ping, c’est le nouveau nom du tennis de table. Mais même sans son pong, ce sport est tout bon, pour tout, pour tous et à tout âge. Et d’abord pour le physique. Le rythme du jeu qui alterne speed, cool et petits break est excellent pour la respiration comme pour le cardio. Ce qu’on sait moins, c’est que le ping aide aussi – et pas qu’un peu – à lutter contre 2 sales maladies du cerveau : Alzheimer et Parkinson. Par quelle magie ? Grâce au principe même du jeu qui demande équilibre, coordination, adresse et aussi vitesse et maitrise de l’espace. Et même s’il y a encore peu d’études scientifiques qui attestent des super effets de la petite balle blanche, les malades comme les médecins sont de plus en plus convaincus. Comme par exemple, le psy américain Daniel Amen pour qui ça stimule le cognitif. Ce que des experts japonais ont pu prouver avec l’imagerie médicale. En montrant l’activité de M. Ciboulot avant et après, une partie de tennis de table. Jouer au ping agit sur 5 zones du cerveau dont l’hippocampe. L’hippocampe qui justement rétrécit avec la maladie d’Alzheimer. D’où, pour ces experts japonais la nette amélioration de la mémoire mais aussi du moral des malades joueurs de tennis de table. Et comme il n’existe aucune contre-indication ou presque, de plus en plus de clubs sportifs se mettent au ping santé. Comme à New York, où le 1er championnat du monde de pongistes parkinsoniens aura lieu en fin d’année. Pour les malades d’Alzheimer, là ce sont plutôt des cours spéciaux. Comme au Levallois Sporting club, en région parisienne. C’est le 1er club de France à avoir un ping spécial Alzheimer. La Fédération aussi est en train de s’y mettre avec dans les tuyaux un programme spécial tennis de table et santé pour 2020. Et ça aussi bien pour les seniors rugissants que pour du ping sur ordonnance.